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| Auteur | Message |
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| Sujet: Galerie de Stanzy! o/ Jeu 1 Aoû - 14:26 | |
| Et oui j'ai moi aussi quelques petites choses à poster dans ce coin-ci. *-* Je débute avec du tout neuf, un dessin que j'ai à peine commencé hier et qui est loin d'être fini haha (je voulais le poster parce qu'il ressemble tout de même à quelque chose mais bon, je vous le remontrerai une fois fini bien entendu). Fait au portemine et au fusain pour le moment (je pense y ajouter de la pastel mais j'ai peur de rater xD) ; - Spoiler:
C'est un dessin fait à partir d'une photo de ma petite soeur lorsqu'elle était bébé. Je précise qu'elle était couchée sur le sol (vu que le dessin est loin d'être fini je préfère préciser parce que c'est pas hyper évident haha). Ah et j'ai n'ai pas pu le scanner vu le format du papier, j'ai dû le prendre en photo. ^^ Sinon je vous montre du vieux, des trucs dans un tout autre style > La plupart sont bourrés d'erreurs ou parfois incompréhensibles mais j'ai beaucoup travaillé dessus : - Spoiler:
Voili voilou c'est tout pour aujourd'hui. *-* Je dessine pas énormément donc j'ai pas grand chose à montrer haha. ^^ |
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Moon Engineer Masculin Messages : 286
Dans un coin de carnet Surnoms honteux: Bestiole; La Démence; Le Truc; La Mante Religieuse... Ton monde (Guide, Prisonnier ou Architecte): Dementia | Sujet: Re: Galerie de Stanzy! o/ Jeu 1 Aoû - 15:56 | |
| J'aime beaucoup le premier dessin, me demande pas pourquoi l'effet pas fini rend cool .__. |
| | | | Sujet: Re: Galerie de Stanzy! o/ Jeu 1 Aoû - 18:44 | |
| Ah bon ? x) On m'a plutôt dit que ça faisait glauque haha, qu'elle avait l'air morte... xD Et puis j'ai beaucoup d'ombres à faire sur le visage pour donner un peu plus de reliefs >.<
Mais je pense que c'est quand même mon plus réussit même si le dernier est pas mal fait en théorie haha. Et j'aime quand même le second parce que j'ai travaillé sur les vêtements pendant des heures (même si le visage est raté T.T). |
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Chasseur d'horizons - Ombre sauvage Masculin Messages : 234
Dans un coin de carnet Surnoms honteux: Trop pour les citer ; on le dit volage, sauvage, presque fou peut-être. Amusez-vous avec ce matériel. Ton monde (Guide, Prisonnier ou Architecte): | Sujet: Re: Galerie de Stanzy! o/ Jeu 1 Aoû - 19:27 | |
| Mais quel forum d'artistes dîtes moi. /O/ J'aime ta manière de dessiner. Le premier dessin est un peu creepy, c'est cool. ET EN PLUS. Il fait réaliste. Et il est pas mal différent des deux, ce qui est bien. ( Et pus étant une nullité absolue au fusain, j'admire. /O/ ) ( Et le volume des cheveux est cool. ) ( ET J'AIME LES PAUPIÈRES. ) En fait on dirait que ses lèvres sont suturés. C'est drôle. \o/ /BUS/ ( Oh est les joues de bébés toutes choupis c'est le bien. ) Ensuite le deuxième. J'aime beaucoup les vêtements ! Et même si le visage est foiré, t'as respecté les proportions pour la taille. CE QUI EST FRANCHEMENT BIEN DÉJÀ HEIN. (..... Et les bottes sont supra-cool. ) Le troisième, tous ces détails c'est gnnn. *w* ( Bonjour bonjour je suis un maniaque des détails oui. ) C'est joli et mignon. J'ai l'impression que la robe du dessus d'au-dessus est devenu la forêt de ce dessin là du coup, c'est drôle. /O/ (.....J'imagine des histoires bizarres mais bref hein. ) LE QUATRIÈME EST PARFAIT DANS SON STYLE. Je veux dire, il fait pas réaliste. Mais y a une réelle harmonie dans celui-ci, entre les visage et les habits, qu'on trouvait pas dans le premier. Et puis étant une quiche totale quand il s'agit de dessiner des vêtements, j'admire. /O/ Et enfin le dernier j'aime bien, le vent et les feuilles sont gnnn. *w* Et puis je sais pas pourquoi mais il me fait penser à Ewilan. x) |
| | | | Sujet: Re: Galerie de Stanzy! o/ Jeu 1 Aoû - 20:23 | |
| Oui je sais le premier fait encore un peu trop glauque. x) J'voulais rajouter de la couleur aux joues rien que pour lui donner l'air vivante mais finalement ça pourrait donner pire haha. Les lèvres ne sont pas suturées non non... xD J'ai eu beaucoup de mal d'ailleurs à ce niveau là, j'ai dû recommencer au moins 4 fois et je sens que je vais devoir retravailler ça si elles ont l'air suturées. xD Les cheveux sont à peine commencés, vu qu'on les voit à peine sur la photo je réfléchis encore à une manière de les dessiner haha. Les paupières sont trop propres j'ai encore beaucoup de travaille pour leur donner plus de réalisme. T.T (les joues avaient deux fois plus de volume mais c'était pas mal dur à dessiner xp)
Les vêtement du deuxième m'ont bien pris trois heures... Les petits motifs étaient vraiment chiant à dessiner haha. Le visage je le foire souvent oui oui et c'est pourtant ce que j'encre en premier (comme l'idiote que je suis) !
Le troisième a été fait plusieurs mois avant le second donc ce dernier ne peut pas vraiment l'avoir inspiré haha ce serait plutôt le contraire du coup mais ce n'est pas le cas :p. (les motifs des vêtements du deuxième je les ai trouvés dans une encyclopédie sur le moyen-âge xD). Par contre j'ai pas assez géré niveaux détails du coup c'est le bordel haha. Et le personnage est fait à la va vite. x)
Ça m'étonne... Le quatrième est le plus raté ! xD Et niveau vêtement c'est du vite-fait par rapport au deuxième. :p Mais je l'aime bien aussi. x)
Pour les feuilles du dernier... C'est juste merdique xD Après le dessin rend peut-être mieux en plus petit >.< C'est plutôt le personnage et l'arbre que j'aime bien haha, ça m'a d'ailleurs pris du temps.
Sinon merci pour tes compliments haha ça fait plaisir et surtout d'avoir pris le temps de me faire une critique xD C'est cooool. :p |
| | | | Sujet: Dim 18 Aoû - 4:35 | |
| En ce moment je suis en mode feignasse mais j'essaye de terminer mon dessin ; ça avance lentement mais sûrement x) [la photo est très mauvaise je sais u_u] - Spoiler:
BON, il y a beaucoup de choses ajoutées à la va-vite pour essayer de visualiser le final. x) Les cheveux me donnent vraiment énormément de mal, je vais sûrement recommencer une grande partie ^^ et puis le col est raté je vais devoir le refaire u_u. Sinon j'ai commencé les crayonnés du corps que je ne vais pas dessiner, je voulais juste pouvoir voir où placer les cheveux haha. Je vais sûrement dessiner les épaules et faire un fondu o/. |
| | | | Sujet: Re: Galerie de Stanzy! o/ Sam 31 Aoû - 1:02 | |
| Quand je déprime, je dessine 8D /comme c'est gai/ Bon, je dois changer pas mal de choses, en ajouter, et les photos sont toujours immondes, mais, Voili voilou ; - Spoiler:
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Moon Engineer Masculin Messages : 286
Dans un coin de carnet Surnoms honteux: Bestiole; La Démence; Le Truc; La Mante Religieuse... Ton monde (Guide, Prisonnier ou Architecte): Dementia | Sujet: Re: Galerie de Stanzy! o/ Mar 3 Sep - 23:20 | |
| Commelleestmignooooonne~ *out* |
| | | | Sujet: Re: Galerie de Stanzy! o/ Mer 4 Sep - 1:56 | |
| Je sais c'est horrible D8 De mauvais goût et tout et tout :o En plus c'est mal fait >_< xDDD J'essayerai de vous sortir quelque chose de joli un d'ces jours haha |
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Chasseur d'horizons - Ombre sauvage Masculin Messages : 234
Dans un coin de carnet Surnoms honteux: Trop pour les citer ; on le dit volage, sauvage, presque fou peut-être. Amusez-vous avec ce matériel. Ton monde (Guide, Prisonnier ou Architecte): | Sujet: Re: Galerie de Stanzy! o/ Mer 4 Sep - 20:21 | |
| Hey, j'aime bien ce dessin, il est creepy. /O Et les manches sont sympas. ( OUI LES MANCHES. ) En fait, c'est surtout qu'elle n'a pas de pupilles quoi, ça la rend. Inhumaine. O.o |
| | | | Sujet: Re: Galerie de Stanzy! o/ Mer 4 Sep - 21:21 | |
| Elle en a, des pupilles x) C'est juste que le dessin perd la moitié de ses nuances de gris avec la photo hahaha Mais j'essayerai d'arranger ça :v *-* |
| | | | Sujet: Re: Galerie de Stanzy! o/ Ven 11 Oct - 0:59 | |
| Pompimpam, je me suis remise au dessin *-* C'pas terrible (surtout la qualité des photos qui est immonde) mais bon ;p - Spoiler:
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Chasseur d'horizons - Ombre sauvage Masculin Messages : 234
Dans un coin de carnet Surnoms honteux: Trop pour les citer ; on le dit volage, sauvage, presque fou peut-être. Amusez-vous avec ce matériel. Ton monde (Guide, Prisonnier ou Architecte): | Sujet: Re: Galerie de Stanzy! o/ Ven 11 Oct - 16:16 | |
| Gnnn, tu dessines tellement d'enfants, c'est trop cool. *w* Je ne sais absolument pas en faire, et toi. SI. C'est bien comme ça, han. |
| | | | Sujet: Re: Galerie de Stanzy! o/ Ven 11 Oct - 21:26 | |
| Ahhh merci ça fait plaisir ^^ Hmm... je pourrais te faire des croquis si tu veux ^^ Mais il y a déjà quelques trucs pour essayer de faire un personnage enfantin :p De grands yeux, de grandes oreilles, de grosses joues bien rondes, un petit nez et un petit menton... Après ; tout dépend de ton style hahahhaha Mais si ta faiblesse est au niveau des proportions tu es obligé de faire des croquis è_é xD (ça t'aidera beaucoup si tu veux faire le même genre de dessin ; vraiment) Après je recopie à partir de photos pour le moment donc voili voilou, j'arrive à rien sans ça moi (et c'est pas bien) ^^
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| | | | Sujet: Re: Galerie de Stanzy! o/ Lun 30 Déc - 17:29 | |
| En ce moment, j'essaye de retrouver toutes mes présentations.°^° Et bon, c'est pas brillant hahaha mais je vais quand même les partager avec vous XD Mais j'vais quand même pas tout mettre d'un coup un x) - Ma toute première présentation (SANS BLAGUE! XD):
Nom : Liào
Prénom : Shunkan
Âge : 16 ans
Classe : 4ème
Histoire : Shunkan Liào a appris dès son plus jeune âge les rudiments du combat. Descendante d'un vieux clan d'assassin elle se détournera de sa famille dont elle désaprouvera les traditions qu'elle trouve dépassées. Totalement méprisée par ses parents et le reste du clan pour son style de combat dit "peu conventionnel" pour ses pairs elle sera mise à la porte et elle vivra plus d'un an sous les ponts, un an à maudire cette famille qui l'avait chassée. Le clan lui proposa tout de même de revenir car cette année écoulée était juste nécessaire la rendre plus docile. Mais elle fût rapidement inscrite au pensionnat Djoto, pour forger son caractère et lui apprendre qu'on ne peut pas agir comme on le souhaite dans la vie. Enfin, c'était plutôt une manière de se débarasser d'elle sans pour autant avoir de problèmes.
Apparence Physique : Shunkan a de longs cheveux noirs qu'elle coiffe en couettes, de grand yeux bleus assez inexpressifs et est particulièrement menue. Grande et très fine, elle se permet de porter des vêtements assez "courts". Elle possède une très longue veste noire, des gants assortis et de hautes bottes lui arrivant pratiquement aux genous. Son corps est recouvert de cicatrices témoignant de l'ardeur avec laquelle elle a dû mener une vie pleine de combat.
Caractère : Shunkan n'est pas une fille très sociable. Elle est plutôt silencieuse et calme, elle n'aime pas les gens bruyants et qui agissent impulsivement. Elle se trouve assez intelligente et a confiance en ses capacités au combat. Elle possède un semblant d'humour mais qui ne se révèle finalement pas très drôle. Ayant été rejetée par toutes les personnes qu'elle connaissait elle a du mal à faire confiance aux gens mais espère pouvoir prendre un nouveau départ. En fait quand on prend le temps de la connaître c'est une fille assez banale et amicale.
Type de Combattant : Surhomme
Styles de Combat : Enfant elle a appris le maniement du sabre et le karate. Elle possède une épée. Elle sait très bien se battre à main nue.
Clan : Karasu
- Ma deuxième présentation, toute aussi mauvaise que la première:
Nom : Irino
Prénom : Saya
Dite : Gold Saw
Âge : 18 ans
Classe : 6ème
Histoire : Gold Saw avait un véritable nom autrefois lorsqu'elle était une enfant normale. La jeune fille a grandit dans une famille aisée, dans un village tranquille. Tout ce dont elle se souvient véritablement de cette existence passée c'est son amie d'enfance Fame. Qui était sa seule amie en réalité. À l'âge de onze ans elle quitte le village laissant Fame derrière elle avec beaucoup de regrets. Elle arrive alors dans une ville comme elle n'en avait jamais vue. Ènorme avec des centaines de quartiers différents. Les parents de la jeune fille étaient de véritables bourreaux de travail et la délaissèrent. En tout cas ce fût l'impression de cette dernière qui se mis à traîner dans les quartiers mal famés de la ville. Là où n'était décidement pas la place d'une petite fille. C'est dans un de ces quartiers là que l'enfant fût agressées par un groupe d'hommes aux intentions louches et miraculeusement sauvée par un adolescent à la force extraordinaire. Lorsqu'elle le vit Saya eut une sorte d'illumination et se dit qu'un jour elle voudrait être aussi forte. Elle se mît alors à le suivre comme son ombre. Ce garçon si gentil était le chef d'un gang de jeune aux pouvoirs surnaturels semant la terreur dans les bas quartiers. Il s'était auto proclamé possesseur du sud de la ville. Et s'était en même temps prit d'affection pour Saya. Il commença alors à lui apprendre l'art de combattre. Si la jeune fille avait déjà une force démeusurée elle possédait un don plus grand encore. Elle avait la capacité de prévoir les mouvements de son adversaire particulièrement facilement. Ce qui lui valu le surnom de "Gold Saw" (vue d'or). Ce surnom remplaça vite son véritable nom et le gang très vite sa véritable famille. Elle grandit finalement parmi eux et améliora grandement ses performances au combat. Alors qu'elle pensait connaître désormais tout ce que son chef bien aimé pouvait lui apprendre elle lui proposa un duel dont elle sortit vainqueur. Toujours en très bon terme avec le gang Gold se prépara tout de même à partir à la recherche de son amie d'enfance ce qui la mena à l'institut Djoto. Surexcitée, elle allait retrouver son amie et augmenter ses capacités de combattante par la même occasion. Un rêve qui se réalisait.
Apparence Physique : Gold à une frange et de très long cheveux noirs qu'elle laisse simplement pendre dans son dos. Ses yeux son eux, étrangement rouges. Souvent complimentée par son physique elle a vite pris confiance en elle sur ce point. Elle est plutôt grande et fine et en profite pour porter des "vêtements" assez osés. Elle porte en effet un short particulièrement court et une sorte de haut de bikini.
Caractère : Gold Saw autrefois Saya, n'a pas vraiment changé pendant toutes ses années. Elle très sociable et particulièrement amicale avec n'importe qui. Elle ne fait plus attention depuis longtemps à l'apparence des gens car elle en a trop rencontrés pour être étonnée. Gold se lie d'amitié facilement avec les gens qui veulent bien d'elle même si elle sait parfaitement faire la différence entre un véritable ami et un simple copain. Même si elle parait très amicale elle peut parfois se montrer très cruelle envers ceux qui s'opposent à elle. Elle possède une intelligence dans la moyenne et sait s'en servir. La jeune fille aime se battre mais préfère par dessus tout regarder les autres faire et en apprendre encore plus.
Type de Combattant : Surhomme
Styles de Combat : Elle combat avec une épée étrange qui a souvent été comparée à une tronconneuse. Elle possède aussi le don de pouvoir très facilement prévoir les mouvements de l'ennemi ce dont elle se sert à peu près tout le temps.
Clan : Karasu
- Ma troisième présentation, vous avez compris la suite je crois:
Nom : Moriyama
Prénom : Tsubaki
Âge : 15 ans
Classe : 3ème
Histoire : Les Moriyama formaient il y a des siècles l'une des plus puissante famille de télépathes du Japon. Tsubaki, elle, fait aujourd'hui partie de ce qu'il en reste. Une bande de bons à rien, réclamant le respect, rêvant ainsi toujours de leur gloire passée. Méprisés de tous pour leur pouvoirs particulièrement réduits, les Moriyama se sont isolés du monde entier pour être ainsi oubliés de tous et commencer une nouvelle vie. Tsubaki se souvient à peine de son enfance qu'elle a voulu oublier. La vie était particulièrement dure pour ses parents. Ni sa mère, ni son père ne possédait de pouvoirs particuliers. Son frère, à l'âge de douze ans arrivait à faire tourbillonner des billes dans le creux de sa main ce qui faisait la fierté de ses parents. Tsubaki était totalement rejetée par ces derniers car elle ne montrait aucune aptitudes à la télépathie. Régulièrement battue pour des raisons inconnues, l'enfant commença lentement à associer sa famille à la douleur. Ce mal qu'ils lui faisait subir était de plus en plus insupportable, de plus en plus impardonnable. Elle était le souffre douleur de son frère qui en voulait au monde entier de ne pas s'améliorer. Alors qu'elle était une énième fois battue par son père, sa mère lui hurlant des atrocités et son frère ricanant dans un coin, Tsubaki fît sa première démonstration de pouvoir. Faisant littéralement exploser les corps des membres de sa famille. Avec une haine immense, elle s'abandonna à ce pouvoir qui avait toujours dormit en elle. Après cela, l'enfant fût placée dans une institut spécialisée où elle apprit à controler ses pouvoirs. Grandissant dans la peur la plus totale d'elle même, elle essaya d'apprendre la part la plus douce de son don. La jeune fille commença alors l'apprentissage de l'art de soigner part la télépathie ce qui lui apporta une grande sérénité. Elle s'était alors jurée de ne plus jamais user de ses pouvoirs pour tuer. Tsubaki arrivait à créer des barrières mentales, à soulever des objets ou des êtres humains par la force de la pensée. Elle se révéla même douée pour créer des boules d'énergie, peu puissantes mais c'était tout de même exceptionnel. Finalement, la jeune fille put sortir de l'hopital à quatorze ans mais voulu compléter son apprentissage par le combat et s'inscrivit donc à Djoto.
Apparence Physique : Tsubaki est très petite, fine et menue. Elle a de très long cheveux décolorés qu'elle laisse détachée à l'exception de deux mèches, entourant son visage, qu'elle tresses. Elle possède de grand yeux bleus sur lesquels retombent quelque mèches de cheveux. Tsubaki s'habille d'une manière assez étrange car elle a découvert il y a peu qu'il existait des dizaines de styles vestimentaires et a beaucoup de mal à interpréter la mode et le style même si elle fait des efforts pour s'y interésser.
Caractère : Tsubaki a toujours été quelqu'un de particulièrement gentil et serviable. Elle fait énormément d'efforts pour que tout le monde l'aime et pour ne pas avoir de problèmes. Même si la jeune fille a subie beaucoup de traumatismes elle essaye de rester équilibrée et de ne pas le faire sentire aux gens. Elle ne juge jamais les autres car elle pense qu'après l'horreur qu'elle a commise elle n'en a nullement le droit. Tsubaki essaye de toujours rester calme et de ne pas céder à la colère qui chez elle peut se révéler dévastatrice. Elle préfère se cacher derrière une apparence faible et fleur bleue même si en fait la jeune fille à une personnalité bien plus profonde. Tsubaki est assez intelligente mais elle essaye de ne pas trop se mettre en avant car elle détèste qu'on lui fixe une attention particulière pour quoi que ce soit.
Type de Combattant : Télépathe, (arme humaine)
Styles de Combat : Tsubaki ne possède aucune force physique particulière ou de vrais techniques de combat rapproché, il est donc hors de question qu'elle se batte au corps à corps. Elle utilise la télépathie pour se battre (plus de précisions dans l'histoire) et en concentrant ses forces mentales sur un point elle sait créer des boules d'énergies à faible puissance. Elle possède aussi le don de soigner le corps humain (elle ne peut malheureusement pas se régénerer elle même, ceci ne s'applique donc que pour les autres)
Clan : P.A.N.D.R.A.
- la quatrième:
Nom : Ichimura
Prénom : Tetsunosuke Dit : Tetsu
Âge : 17 ans
Classe : 6ème
Histoire : Tetsunosuke est né dans une famille on ne peut plus normale qui vivait dans la campagne Japonaise. Mais le père du jeune garçon qui trainait dans des histoires assez louche s'attira des ennuis auprès d'un célèbre clan d'assassin qui était connu pour être extrémiste et particulièrement violent. Tetsu ne saura jamais ce que reprochait le dangereux clan à son père adoré qui fût tué peu après avoir reçu des menaces. Mais la mort de son paternel, il l'avait décidé, ne devait en aucun cas restée impunie.
Ce n'était pas la tête pleine de rêve que le garçon grandit lentement, mais bien pleine d'envie de vengeance et de justice. C'est alors que son frère devint le trésorier du Shinsen Gumi, un terrible clan composé des pires assassins, des plus doués et anonymes qui étaient des employés idéaux pour les personnes qui cherchaient à se débarrasser de quelqu'un en toute discrétion et rapidement. Tetsu pu ainsi obtenir assez vite une place au sein du clan, qui n'était pas familial, en tant que serviteur du chef qui se prit d'affection pour le petit garçon qui rêvait d'apprendre à se battre. Même si il était devenu un véritable esclave en entrant dans le clan il était plus heureux que jamais car entouré d'une nouvelle famille qui était au final bien plus amusante qu'il ne l'aurait pensé.
Même si il n'était plus qu'une bête de somme, le jeune Tetsu se fit de nombreux amis plus dangereux les uns que les autres mais malgré tout amusés du tempérament du jeune garçon qui les suppliait de lui apprendre le combat. Finalement, certains des assassins en manque de travail prirent le temps de lui transmettre toutes les traditions du clan qui suivait toujours les principes de leur fondateur et se permirent même de lui enseigner des techniques secrètes de leur famille respective. Le garçon se révéla être extrêmement doué dans toutes les disciplines qu'on lui permit d'apprendre et après des années d'acharnement et d'entraînement le chef de clan qui était résigné lui donna la permission de porter deux katanas comme tous les autres assassins et de partir en mission comme tout le monde.
Les missions s'enchaînèrent alors pour le garçon qui grandissait beaucoup trop vite pour son âge mais qui adorait ça. La vie au sein du clan qui était pratiquement inconnu de tous était très tranquille et seuls les assassinats qu'il devait effectuer rendait son existence singulière. Après avoir apprit toutes les techniques secrètes de tous les membres Tetsu avait vu son niveau grandement augmenter; il était capable à quatorze ans de manier deux sabres en même temps avec une habilité et rapidité rare. Certains le surnommait même le fantôme tellement il était difficile à atteindre lors des entraînements qui étaient organisés dans le grand dojo que possédait le clan. Même si il ne possédait pas une force particulière, il compensait largement par sa rapidité et son savoir en ce qui concernait le maniement des armes blanches. Le jeune garçon se mit aussi au défi d'apprendre la maîtrise de l'eau, élément qu'il jugeait très puissant et rêvait de manipuler. Après avoir trouvé un professeur qui voulait bien de lui comme élève, il pu apprendre, en plus de tous ce qu'il avait déjà, à manipuler cet élément qui le fascinait.
Alors qu'il se croyait désormais capable de venger son père, Tetsu décida d'attaquer la résidence principale du clan qu'il désirait éradiquer à lui seul. Il parvint avec succès à en tuer pratiquement la totalité grâce à un étrange pouvoir qui se révéla au grand jour alors qu'il entrait dans une colère noire contre ses adversaires. La haine le changea du tout au tout, son corps se recouvra d'étranges écailles qui lui donnait un teint grisâtre et sa maîtrise de l'eau devint une maîtrise du sang particulièrement meurtrière. Dans cet état second, Tetsu était devenu cruel et très violent, même si ses étranges écailles le protégeait des blessures mortelles il s'approcha rapidement de la mort pendant ce combat insensé. Mais son très cher chef de clan vint à sa rescousse pour l'aider à en finir avec le groupe d'assassins qui finalement, marchait sur leurs plates-bandes. Le supérieur du garçon mourut dans la bataille et Tetsu lui succéda.
Après avoir été vengé et avoir atteint un certain grade dans la société, il fut enfin satisfait bien qu'il eut dû faire beaucoup de sacrifices avant d'en arriver là. Sa mère qui était inquiète pour lui, le supplia de se ranger comme tout le monde ; d'obtenir un diplôme, de travailler honnêtement. Le garçon ne pouvait pas décevoir sa mère même si il ne pouvait sûrement pas abandonner tout ce pourquoi il s'était battu. Alors il s'inscrivit à Djoto dans le seul but d'obtenir un diplôme qui satisferait sa mère bien aimée tout en le divertissant. Car cette école n'était bien évidemment pas comme les autres. Il était résigné à y passer un an de sa vie et avait alors laissé le clan à la charge d'un de ses meilleurs amis et assassins.
Apparence Physique : Tetsu, pour son plus grand malheur, n'a pas l'air d'avoir plus de quinze ans. Il est très petit et maigrichon et possède un visage assez mignon selon la plupart des femmes qui travaillent sous ses ordres et qui le trouvent adorable. Il a une coiffure assez spéciale, ses cheveux sont longs, roux et vont dans tous les sens. Il a de grands yeux verts qui lui donnent l'air encore plus jeune et inoffensif. Même si il adore les kimonos traditionnels, il essaye de s'habiller de la manière la plus normale lorsqu'il est à l'extérieur afin de ne pas se faire remarquer mais privilégie toujours les vêtements spéciaux qui lui donnent un air plus mystérieux. Tetsu possède deux katanas qu'il garde à la ceinture et une dizaine de dagues qu'il cache sous ses vêtement de manière discrète.
Caractère : Le jeune garçon est d'un naturel plutôt sympathique, il adore plaisanter et à un don pour se chamailler avec ses amis qu'il privilégie avant tout. C'est en effet quelqu'un de très fidèle mais qui n'accorde pas sa confiance facilement même si il est loin d'être difficile de dialoguer avec lui amicalement. Tetsu adore se battre plus que n'importe quoi d'autre, il est assez provocateur et se fiche totalement de combattre un adversaire plus puissant que lui. La défaite n'est pas un problème si il peut toujours en apprendre plus sur l'art du combat qui est selon lui magnifique. Mais malgré cela, le garçon reste toujours sûr de lui et pense rarement d'un combat qu'il est perdu d'avance car il se sait détendeur de grandes capacités. Tetsunosuke peut aussi, comme tout le monde se mettre terriblement en colère, ses petites colères peuvent devenir monstrueuses comme expliquées dans l'histoire et il essaye encore aujourd'hui d'apprendre à contrôler ses pouvoirs lorsqu'il est totalement lucide. En bon petit adolescent, il aimerait aussi avoir une petite amie mais sa quête d'amour semble ne jamais aboutir car les filles trouvent qu'il a l'air trop jeune et qu'il est en réalité, assez chiant et gueulard. Mais le garçon qui ne lâche rien essaye toujours d'impressionner certaines demoiselles lors de ses combats sans se rendre compte que ça n'intéresse qu'une infime partie d'entre elles.
Type de Combattant : Surhomme (vitesse), impulsif, élémental (eau, sang), métamorpheur (sa peau se recouvre d'écailles protectrices)
Styles de Combat : à l'arme blanche
Voilà tout pour le moment, je rigole souvent bien lorsque je les relis. x) N'empêche que les trois premiers personnages sont ceux avec lesquels j'ai le plus joué, c'était ma période d'enchainement d'RPs ... j'étais devenue acro haha... xD Et puis, ce sont avec ces personnages que j'ai tout appris (à part le dernier que je n'ai jamais joué XD), et sur le même en forum en plus. x) Et puis après j'en ai quelques unes dont je ne me souviens plus de l'ordre : - Edilio:
Surnom : Saiten Tensei Sexe : ♂ Âge : inconnu Orientation : hétérosexuel Rôle : Grand Sage Royaume : Royaume de l'Air Vœu : rétablir la paix dans le monde Race : abomination Autre : Edilio est très fort physiquement et sait particulièrement bien se battre. Il a des connaissances dans à peu près tous les Arts-Martiaux et autres styles de combat moins traditionnels. Il possède une intelligence hors-du-commun qui l'aide dans énormément de domaines. Grâce à son statut de Grand Sage, il peut aller dans tous les pays.
Journal de Mao Tayrell Après toutes ses années je n'arrive tout simplement pas à y croire ! Il a tellement changé que j'ai faillit ne pas le reconnaitre... C'est qu'il a un peu plus fière allure aujourd'hui ! Étrangement, il ne semble pas vraiment vieillir... Je peux voir que son visage est plus marqué, plus sérieux qu'autrefois mais c'est tout ce qui lui donne un air plus âgé. Je pense qu'il est plus grand et plus musclé qu'avant ce qui lui ajoute une touche impressionnante et intimidante. Malgré ses larges épaules et ses membres finement musclés il me parait toujours aussi mince. Je suis pourtant sûre qu'il mange autant qu'avant ! Une vraie poubelle qui avale n'importe quoi mais qui garde la ligne, c'est une injustice. Une chose n'a pas changée, ses yeux. Toujours grands et expressifs je n'ai pu m'empêcher de plonger mon regard dans le sien pendant un instant pour rougir de honte celui d'après (mais ça, c'est une autre histoire). Et puis, ils ont cette magnifique couleur dorée rehaussée de paillettes sombres et brillantes. On peut presque tout voir dans son regard qui parle souvent pour lui, même si il semble avoir une meilleur maîtrise de soi qu'autrefois. Ce que j'adore c'est que malgré la grandeur de ses yeux, il garde un air totalement masculin. Ils ont une belle forme qui ne peut lui donner qu'un visage éveillé et attentif. Edilio semble toujours voir quelque chose que les autres sont incapables d'apercevoir. Ses cheveux, si mes souvenirs sont bons, ont simplement un peu poussés. Je les aime bien. Bruns avec de beaux reflets sombres, ils brillent de mille feux au soleil. Il a toujours cette étrange coiffure que je n'arrive pas à comprendre mais qui est très originale. Je me suis toujours demandée comment il arrivait à se coiffer ainsi. Une partie de ses cheveux mis-longs est répartie sur les deux côtés de son visage, au dessus de sa couronne d'or. Le reste est sa frange qui, elle, passe en dessous de l'objet en question qui m'intrigue toujours autant. J'ai toujours trouvée cette couronne d'or magnifique et ai, encore aujourd'hui, l'irrépressible envie de l'effleurer des doigts. On dit qu'il ne l'enlève jamais et que si elle se brise il se passera quelque chose d'horrible. Je me demande si ce ne sont que des légendes... En tout cas son visage dans son ensemble est, je trouve, toujours aussi beau. Il est tellement mignon mais parait en même temps sage et intelligent. C'est un superbe mélange qui me fait craquer. Il a le nez droit qui lui donne un air plus sérieux qu'un petit museau retroussé. Ses lèvres fines et masculines s'étirent souvent en de magnifiques sourires qui révèlent des dents bien alignées et étincelantes. Ses pommettes saillantes lui donne un air sympathique mais élégant et son petit menton ne connaitra jamais le malheur d'être double ! Aujourd'hui il porte des vêtements différents de ceux qu'il revêtait autrefois. J'étais époustouflée devant sa robe semblant venir d'un autre monde. Elle ne fait qu'accentuer sa large carrure et lui rajoute un petit quelque chose... Lorsqu'il est habillé ainsi je ne peux m'empêcher de le trouver très intimidant. Mais je sais qu'il porte parfois des vêtement plus normaux. Cette tenue tellement spéciale, il l'appelle sa toge de sage. C'est étrange, je ne comprend pas vraiment. Enfin, même après cette description et ce qu'en dit mon frère, je ne suis pas du tout amoureuse de lui !
Journal de Mao Tayrell Son physique n'est pas la seule chose qui a changée. Il a tellement évolué mentalement depuis la dernière fois que nous nous sommes vus ! Mais même si il se cache sous ses nouveaux airs de sage, je sais qu'il est toujours le même au fond de lui ! On ne change pas véritablement, on ne fait que s'afficher d'une autre manière. Je suis peut-être cruelle de m'exprimer ainsi... Je sais qu'Edilio travaille sa façon d'être depuis longtemps et qu'il poursuit toujours un combat acharné contre ses vieux démons. Je sais bien qu'il est plus mature qu'autrefois, j'ai peut-être juste du mal à l'accepter... Enfin, je suis contente pour lui. Il a trouvé une véritable voie spirituelle qui le satsisfait pleinement. Son envie de paix est plus grande que toute autre, j'en suis sûre ! C'est un garçon avec de si belles intentions... Il a toujours été naïf et idéaliste. C'est bien le genre de personne que j'adore, il ferait tout pour protéger ce qu'il aime et chérit. Même si il est dit comme un grand sage je me demande à quel point il l'est. Selon certaines personnes, ce ne serait pas à cause de sa sagesse qu'il s'appelle ainsi. Il est simplement le Saiten Tensei, l'abomination mais aussi la sagesse incarnée. C'est ce qu'on dit de lui mais je n'aime pas écouter les ragots. Enfin, je n'aime jamais m'attarder sur le sujet que je ne saisis pas encore totalement... Ce qui est toujours pareil chez Edilio c'est sa spontanéité qui est tout simplement incroyable. Il peut parler avec n'importe qui sans problème, la barrière de la classe sociale lui importe peu. C'est un garçon sans gênes et qui ne connait que trop peu la retenue. Même si je sais qu'il fait beaucoup plus attention à sa manière de parler qu'avant, il me fait toujours rire. C'est aussi un grand farceur même si il essaye d'arrêter les mauvaises blagues qu'il adore pourtant. C'est une partie de son grand côté gamin qu'il essaye de gommer avec les ans. Je pense que c'est bien de grandir, surtout quant on ne vieillit pas comme lui. Il évolue comme n'importe qui et ne garde pas ses traits de caractère enfantins. Malgré cela, il garde cette insouciance incroyable qui n'est certainement pas digne d'un grand sage. Il aime passer son temps à rêver, se bagarrer, manger et plaisanter avec les vieux croutons du Palais Nuageux. Même si la méditation est devenue un de ses grands passe-temps, il a dû mal à ne pas prêter attention à d'autres choses et à ne pas se laisser distraire. Je connais aussi un de ses grands secrets. Il adore lire des requiem de poèmes en tout genre. Je trouve ça ultra mignon surtout que son auteur préféré aimait chanter inlassablement les plaisirs de l'amour. Je suis sûre qu'au fond, Edilio, est un grand romantique. Son statut de grand sage ne l'affecte apparemment pas à ce niveau là. Je ne pense pas qu'il ait des restrictions vu qu'en fait son statut n'est dû qu'au fait qu'il soit le Seiten Taisei. Il y a des rumeurs qui disent qu'il est amoureux, je me demande bien de qui. Et je ne pense bien évidemment pas à moi !
Journal de Cléïs Tayrell Je suis totalement paniquée ! Mao a ramené cette espèce d'animal à la maison un sourire béat sur le visage. Je ne sais pas vraiment quoi faire, l'espèce de bête sauvage ne m'inspire pas confiance. Rien que ses yeux... Ils sont dorés, c'est un mauvais présage. Je ne sais plus exactement ce que disait les vieux sages à ce propos mais je ne peux tout simplement pas le regarder. Mao dit que c'est son ami. Qu'il était en haut de la montagne enfermé dans une sorte de grotte avec des barreaux. C'est totalement absurde ! Moi qui lui dis si souvent de ne pas jouer dans les montagnes, cela prend tout son sens maintenant. Je suis à présent obligée de nourrir cette drôle de créature. Il a beau ressembler à un humain, je sais qu'il n'en est pas un. Cela se sent directement, et puis sa façon d'agir est étrange. Même si il parle je ne peux lui faire confiance. Peut-être est-ce un esprit malin venu nous tourmenter ? Ma petite fille chérie n'aurait pas pu trouver pire comme compagnon de jeu. Elle n'arrête pas de dire qu'il était triste enfermé au sommet de la montagne et qu'on n'a pas le droit de l'y ramener. C'est pourtant ce que j'ai envie de faire. Si cette chose était enfermée c'est qu'il y avait une bonne raison de la tenir à l'écart de toute civilisation ! Mais Mao n'en démord pas, elle ne le quitte pas d'une semelle et dort avec lui. Je trouve ça dégoutant ! Cette chose est toujours si près de ma fille, joue, dort, mange, étudie avec elle. C'est insupportable de se sentir impuissante comme moi en ce moment. J'aurai tant aimé que Sorène soit là... Lui il aurait su quoi faire. Pour le moment je vais laisser les choses coulées, si ça se trouve il est inoffensif (même si je n'y crois pas !). Mao lui a même donné un nom idiot : Edilio. Je ne comprend pas d'où il lui vient mais le sauvageon était apparemment fou de joie que la petite lui trouve une appellation.
Journal de Mao Tayrell Edilio est le meilleur ami que je n'aie jamais eut. Je sais ce que maman en pense mais je m'en fiche, il est gentil. Il fait tout ce que je lui demande, il sourit et rigole tout le temps, on s'amuse toujours ensemble. Je me demande pourquoi est-ce qu'il était enfermé. Lui qui est si gentil et inoffensif... Edilio m'a dit qu'il ne s'en souvenait pas, qu'il s'était réveillé enfermé. Avec un visage tout triste, il a dit qu'il avait voulu appelé à l'aide mais qu'il ne connaissait aucun nom à appelé. Alors il était resté là, le temps était passé. Il ne vieillissait pas, ne mourrait pas de faim et ne connaissait que l'ennui et le désespoir. Puis je suis arrivée ! Quand je l'ai vu dans cette sorte de cellule j'ai accouru pour lui parler. Il avait l'air tellement triste et perdu. Je suis fière de l'avoir libéré, il a une joie de vivre immense ! Et depuis qu'il a découvert la nourriture il n'arrête pas de manger, il est marrant. J'espère qu'on restera toujours ensemble.
Journal de Cléïs Tayrell J'ai finalement forcé Mao à emmener la chose au Royaume de l'Air pour que les vieux sages le voient. Au début ils nous ont presque rit aux nez alors qu'on leur demandait quelle était la nature d'Edilio. Puis l'un d'eux s'est relevé en trombe avec un expression stupéfaite sur le visage. Les yeux dorés sont un signe d'abomination. Edilio est une créature née de la roche mais qui est aussi reconnue comme étant un Grand Sage. Le Saiten Tensei... C'est comme ça qu'ils l'appellent. Apparemment, il serait l'être le plus sage qui puisse exister. J'ai du mal à le croire, pour moi ce n'est qu'un sauvage gourmand et farceur. Mais les vieux sages ont insisté sur le fait qu'Edilio était avant tout une abomination, et qu'il pouvait perdre le contrôle de soi et devenir fou. Je savais que cette chose était dangereuse ! Selon eux, c'est son espèce de couronne d'or qui lui permet de garder forme humaine. Ils veulent le garder avec eux pour en faire un sage. Je suis heureuse, je suis restée près d'un an avec ce monstre dangereux et j'en suis enfin débarrassée. J'espère qu'il ne quittera jamais le palais de l'air où aura lieu sa formation. Je doute qu'il puisse réellement devenir un sage mais ce ne sont pas mes affaires, tant que je peux profiter de cette opportunité. Mao est déchirée par le départ de l'abomination, mais je sais qu'elle s'en remettra. Elle se fera d'autre ami et oubliera la chose. Edilio lui a pourtant promis de revenir la voir un jour, je ne comprend pas. Je ne pense pas que le monstre ait des sentiments... Tout ce que je veux c'est l'éloigner le plus possible de ma petite fille.
Journal d'Edilio Cela fait un moment que je vis auprès des sages. Je me plais ici, j'apprend énormément de choses et je me vois changer en bien. J'espère devenir un grand sage comme ils l'affirment. Je fais tout ce qu'y est en mon pouvoir pour y parvenir. Je suis déterminé à allé au bout de mes objectifs. Ces derniers mois je pense beaucoup à quelqu'un et ça me tracasse. Je ne sais pas où est-ce que j'ai connu cette personne, peut-être dans un rêve ou avant que je soi enfermé ? Je n'en ai pas la moindre idée mais j'ai toujours son doux visage en tête. Comme cela m'embêtait je suis allé voir un des vieux sages. Il m'a dit une chose incroyable, je serai amoureux. Je ne comprend même pas exactement ce que ça veut dire, je ne pensai pas que j'étais capable de ressentir ce genre d'amour. Le sage a faillit rire de moi en voyant ma tête pour me demander ensuite qui était la jeune fille concernée. J'ai faillis répondre que je ne savais pas, mais au fond je sais que je la connais. Elle s'appelle Alice, je ne sais pas quel rôle elle aura prochainement et je me demande surtout si je pourrai la rencontrer un jour...
Détails: C'est une voix qui s'approche et nous frôle dans la nuit, celle de la sagesse et de la tranquillité. Cette voix est bien celle du Saiten Tensei, l'incarnation de la pureté et du savoir. Mais surtout, n'essayez pas de réveiller ce qui se cache derrière ces yeux dorés.
-Edilio possède ; • une grande force • le statut de Grand Sage • une intelligence supérieur • de très bonnes capacités au combat • le droit de se rendre dans tous les pays
- Carito:
Carolina I. Ramirez Espinoza « APPROCHEZ-VOUS DE CETTE FEMME ET DEMANDEZ-LUI SI LA LUEUR DE SES YEUX EST À VENDRE. »
Vulgaire. C'est le premier mot qui vient à l'esprit de tellement de petites gens. Si vous pensez pareil alors allez vous-en, hors de ma vue, vous ne comprenez rien à rien. Vous ne pouvez braver les formes qui nous laisse pourtant entrevoir son vrai visage. La vulgarité n'est que crasse accumulée sur sa peau déjà bien assez dorée par le soleil. Alors, chut, imaginez là un instant... lavée de cette immondice dont je ne prononcerai plus le nom, à nu devant vous. Vous voyez ? Très bien. Maintenant je vais peut-être pouvoir vous la décrire comme je me dois de le faire. Même si je sais que mes mots ne seront pas à la hauteur, mes phrases trop rudes, trop peu soignées, ne sauront retransmettre la manière de laquelle je la vois. Non, elle n'est pas vulgaire et j'essayerai donc de ne pas l'être moi-même malgré mon langage trop peu élaboré. Alors imaginez un peu... oui, fermez les yeux. Elle se tient debout, à quelques mètres seulement de vous, s'appuyant sur le bar. Vous ne voyez pas son visage, non pas encore. Observez alors son dos... Quoi ? si si, il y a tellement de choses à voir. Vous vous rendez rapidement compte de sa taille minuscule, après une estimation rapide on arrive à penser qu'elle fait un peu moins d'un mètre cinquante-cinq ce qui est sûrement juste. Le terme enfant ne vous vient tout de même pas à l'esprit, jamais. Sa silhouette est élégante, féminine, adulte. Son jean taille haute ne la rend en aucun cas désagréable à regarder, il l'affine un peu plus encore qu'elle ne l'est déjà. Il lui colle à la peau, lui moule les cuisses et les fesses, régale votre regard si il est un tant soi peu éveillé. Mais ne vous détrompez pas, vos yeux n'y restent pas figés, il y a plus intéressant à voir. Vous regardez un peu plus haut, juste un peu. Vous remontez le longs des belles courbes que forment ses hanches, son dos est droit, légèrement creusé alors qu'elle s'appuie contre le meuble de bois sur ses avants-bras. Ses épaules en arrière, rondes et presque trop peu larges, ses bras sont fins et finement musclés, recouverts de tatouages aux milles couleurs. Des étoiles, planètes improbables, feux d'artifices, sirènes bleues aux cheveux rose chewing-gum, des soleils, soleils enflammés de noir brulants aux braises fluorescentes... elle en a tellement qu'ils ne forment plus qu'un amas de couleurs des plus charmants. Vous avez de la chance de les voir aujourd'hui, mal vue est cette oeuvre d'art et elle la cache parfois sous une épaisse couche de maquillage. Terrible n'est-ce pas ? Rebelle dans l'âme elle est, mais tout de même... attirer l'attention n'est pas nécessaire. Mais ce soir elle n'y pense pas, elle s'amuse, exhibant ses bras colorés sans gênes alors qu'elle est vêtue d'un débardeur un peu trop court aux motifs "militaire", de camouflage. Ses mains reposent l'une sur l'autre, sur le comptoir. Ses doigts sont longs et fins, ses ongles vernis, tous différemment, motifs colorés et étranges y sont dessinés. Quelques bagues ornent ses doigts, un peu kitsch sur les bords, cela vous arrache un sourire. À croire que le mauvais goût est souhaité, on aime directement ces mélanges de couleurs trop hideux pour être laids, ils se révèlent finalement vraiment sublimes. Votre regard s'éveille un peu plus, attiré par cet être lumineux, couvert de couleurs néons. Ses cheveux noirs contrastent étrangement avec ces dernières, ont prend la peine de poser les yeux sur eux. Ils lui arrivent à peu près au milieu du dos, plus sombres que la nuit à laquelle on aurait arraché la lune, sans reflets d'argents pour rendre ses ténèbres plus intenses encore. Ils ondulent, sont en bataille mais gardent un air soigné, presque étrange. Sauvage chevelure qui vous fait frémir, juste un peu. Non, vous n'avez pas tout vu. Votre regard fixé sur elle, l'interpelle, elle vous sent. Ne trouvant pas ça véritablement désagréable elle tourne lentement la tête vers vous pour vous dévisager avec curiosité. Mouvement de bouclettes, de hanches pivotants légèrement, battement de cils, paupières plissées par la lumière ambiante, elle vous jète un regard de braises. Des yeux aux milles nuances de bruns sous une frange trop longue, couleurs improbables rehaussées par des paillettes d'or enflammées qui vous captivent. Des sourcils s'haussants légèrement pour laisser paraitre son étonnement, des lèvres charnues, d'un sombre rouge, légèrement entrouvertes s'étirent en un sourire révélant des dents blanches parfaitement alignées. Ses pommettes colorées se relèvent en même temps, saillantes, tellement hautes, révélants de jolies fossettes, adorables. Son nez droit lui donne un air plus mature qu'un museau retroussé ne l'aurait fait, elle parait terriblement jeune mais superbement femme à la fois. Ça... ? Je la connais, je ne fais que vous dire ce que vous verrez en l'observant. Subjective, la beauté ? Oh, taisez-vous, rendez lui son sourire plutôt.
Je la connais depuis longtemps, Carito. Enfin, je ne sais pas si "connaitre" est le juste terme. Je ne pourrai certainement jamais comprendre cet être si simple mais tellement profond. Oh et puis zut. Je n'ai pas besoin de la décrire de cette manière, elle vous rirait au nez si vous le faisiez ; ‹‹ Profonde... ? c'est une manière de dire que je suis bonne ça ? ››. Certes, son humour n'est pas des plus charmants mais plein de modestie, on sait instinctivement qu'il cache autre chose. Ce qu'il cache ? oh vous en posez de ces questions vous. Hmm... c'est quelque chose de différent pour chacun, à vous de voir si vous arrivez à atteindre ce sentiment secret qui n'attend qu'une chose : être découvert. Alors essayez simplement... de braver les formes... Vous lui rendez son sourire, vous vous approchez lentement. Pourquoi ne pas lui offrir un verre ? a-t-elle seulement l'âge de boire ? qu'importe, ici tout le monde s'en contre fiche. Vous lui adressez la parole, elle fait la moue mais répond tout de même sur un ton désagréable mais plein d'humour déstabilisant. Tenez bon, vous vous prenez un jet d'eau glacé à ses premiers mots, normal, mais l'abandon n'est pas une option. Vous souriez, baissez les yeux, elle relève la tête, vous fixe, haussement de sourcils à votre attention. Allez-vous tenir ? Non, ne vous laissez pas abattre par son ton condescendant et moqueur, regardez... Juste là à droite au coin des lèvres se cache un éternel sourire, un secret à la vue de tous. Redressez-vous, il est là, il n'attend que vous mais le saisir n'est pas si facile, vous le savez. Reprenant la parole, la confiance s'installe peu à peu dans votre voix, ses traits se détendent, elle baisse légèrement la tête, l'incline sur le côté pour vous écouter, lâcher un petit rire à une blague ou deux. Elle ne vous regarde pas alors qu'elle se contente de boire vos paroles, les avalant de travers de temps en temps. Se redresse pour vous observer, un sourire mauvais s'étirant sur son doux visage, elle vous crache son venin au visage, laisse son rire franc résonner dans la salle. Vous n'en pouvez plus, c'est exaspérant, vexant et bien trop peu élégant... son humour vous est insupportable. Vous relevant d'un bond, décidé à prendre la porte vous lui tournez le dos et avancez en secouant la tête mais son regard vous retient. Son sourire n'est plus, la lueur dans ses yeux désormais fixés sur vous s'est éteinte, vous n'étiez apparemment pas à la hauteur. Retenant un juron vous vous retournez pour ouvrir les bras d'un air perdu, baisser la tête, sourire et vous re-diriger vers elle, poser vos mains sur le bar et lui lâcher une réplique cinglante. Elle rit et vous renvoie la pareille, les flammes se rallument au fin fond de ses pupilles qui vous couvent de leur regard brulant. Vous vous rasseyiez, désormais prêt. Votre regard se dépose un instant au coin de ses lèvres, vous voulez savoir ce qui s'y cache, c'est sûr. Mais ça ce n'est pas pour ce soir, vous le savez autant que moi.
Je me souviens des soirs où nous discutions pendant des heures... Enfin c'était surtout elle qui parlait, faisant de longues pauses parfois pour reprendre après comme si de rien était. On était assis sur le vieux matelas défoncé posé sur le sol, le dos appuyé contre le mur crasseux, elle repliait parfois ses jambes sur le côté, s'asseyait en tailleur ou étendait ses petites gambettes devant elle. La cigarette au bec, relevant le tête pour cracher des nuages de fumée, elle parlait encore et encore, sans jamais devenir monotone. Moi j'écoutais, les yeux mis-clos, bercé par le son de sa voix si doux alors qu'elle me contait des histoires passées. Elle ne s'en faisait pas, savait que j'écoutais attentivement, que je n'oublierai rien de ce qu'elle me disait, que je recevais tout avec joie, que je voulais toujours un peu plus d'elle. Quand je fatiguais, trop émotionné par ses paroles je disais simplement ‹‹ Carolina... ››, et elle se taisait, me couvait de son regard bienveillant, passait une main dans mes cheveux, posait ses lèvres humides contre ma joue. Dans les bras de Morphée, je recensais le tout, remettais dans l'ordre chronologique ce qu'elle m'avait raconté sans se soucier de ce genre de choses. Je rêvais d'elle, gamine joyeuse, tout sourire, qui arrachait des rires aux adultes qui la trouvaient craquante. Bambin à la longue chevelure de boucles sauvages, rampant partout à la recherche d'aventures invisibles aux yeux des autres. Petite enfance heureuse, pleine de rire et de sourire, moins que part la suite, ô suite dramatique. Gamine mexicaine qu'elle était, c'était pas vraiment le gosse le plus apprécié de la crèche. Même née sur le territoire japonais elle ne serait jamais des leurs, c'est ce qu'ils pensaient tous mais son jeune âge permettait de braver cela, du moins quelque peu. Mignonne et polie, on aimait ce petit être qui ne connaissait que quelques mots mais qui s'en servait de manière délicieuse. À ses cinq ans, le rire s'est fait plus fort, plus constant. C'était le drame. Il lui avait arraché son éléphant en peluche rose des mains, elle lui courait après pour le lui reprendre, les yeux larmoyants l'aveuglant, les sanglots lui blessants la gorge, les pas incertains la faisant trébucher par moment et lui il riait, courant devant elle, retournant son visage pour la regarder avec un air moqueur. S'époumonant, elle lui cria de la lui rendre, sa précieuse compagne mais lui lui répondait par un regard joueur... regard du joueur qui savait qu'il allait gagner. La fureur, la peur, le chagrin, mélange répugnant de sentiment qui l'envahit à cet instant et qui la stoppa dans sa course. Son regard assassin arrêta l'autre que se figea et s'affola rapidement, son dos s'inclinant lentement en arrière. Hurlement de douleur, elle sert les dents en le regardant, il suffit d'y penser pour réussir à le plier en deux, de manière à le casser tel une brindille. Mais la peur et la panique la saisissent, elle le libère de son emprise, il retombe à terre comme une chiffe molle. Courant pour reprendre son doudou, la fillette est rassurée, le méchant ne peut plus lui faire de mal. Elle avait sourit en disant cela, regardant droit devant elle, on aurai dit qu'elle re-visitait ses souvenirs de manière assez réelle, comme si elle y était, une nouvelle fois. Mais elle ne parlait pas en "je" de cette enfant qui était la responsable des évènement qui suivent. L'enfant farceur n'était pas mort, seulement traumatisé à vie. La petite était un danger pour les autres mais trop jeunes pour être enfermée directement, l'approche douce fut préférée pour dompter ce petit être si doux et gentil. Torturée par sa culpabilité, la gamine ne s'en remit jamais mais faire semblant était devenu une habitude. Sa mère lui disait : ‹‹ Souris qu'il nous laisse tranquille. ››, elle qui en avait marre, qui était au bout du rouleau. Qui commença à boire plus qu'elle ne devait, qui commença à littéralement se battre avec son mari qui ne prit que quelques mois avant de se décider à s'en aller pour laisser cette femme dépressive avec son enfant fou dangereux qui était pourtant le sien à lui aussi. Elle se souvenait, rentrer à la maison, revenant de l'école. Les "assistantes sociales" devaient venir la voir ce jour là. Douze ans qu'elle avait et putain on ne la lâchait toujours pas. La fillette avait sorti sa clef pour ouvrir la porte, surprise. La chainette était accrochée, l'empêchant d'entrer. ‹‹ Maman ? ››, aucune réponse comme d'habitude. La porte se referme seule, on entend la chainette se décrocher, elle peut maintenant entrer. Elle avait pas le droit de se servir de sa télékinésie, on le lui avait interdit depuis l'incident mais elle l'utilisait toujours à petite dose et puis, ça servait. Elle m'avait dit avoir pénétré le misérable appartement au carrelage crasseux, la peinture des murs écaillée et sale, les meubles miteux qui avait mal vieillit, ça la révulsait, une fois de plus ne s'étant jamais habituée à cet endroit sordide. Poussait la porte de la chambre de sa mère, couchée sur le tapis, cette dernière avait remué en gémissant, relevant la tête, les yeux fermés une main posée sur le front. Des bouteilles d'alcool vides trainaient sur le sol, la pièce sentait le renfermé, vomissure, sueur, sang séché et d'autres choses encore tout aussi désagréables mais qu'elle ne pouvait identifier. La fillette s'était baissée vers sa mère pour lui prendre un bras et le passer derrière sa nuque pour la soulever plus facilement. Elle était lourde, elle puait. La gamine l'avait jetée sur le lit en ignorant ses petits grognements qui devaient certainement lui donner des ordres quelconques. Elle avait prit soin de la couvrir de la couverture avant de commencer à ramasser les bouteilles qui jonchaient le sol, d'ouvrir la fenêtre et de vider une bombe de déodorant au travers de la pièce afin de masque un instant la puanteur ambiante et de la remplacer par une autre bien moins dérangeante. Elle avait passé l'appartement au peigne fin, remplit trois sacs poubelles de tas d'immondices et essayé tant bien que mal de nettoyer le carrelage dégoutant. Elle s'était soigneusement peignée les cheveux pour brosser son uniforme plein de poils de chien de la voisine, sourire à son reflet et s'assoir dans la canapé en attendant. Elles étaient rapidement arrivées, toquant à la porte d'un air impatient... elles ? Non. Elle. Elle que la gosse ne connaissait pas, une femme au visage désagréable, maigre allongé, écrasé et sans traits. Des yeux un peu trop bridés qui ne vous laissaient entrevoir que difficilement ses pupilles de glace, des lèvres fines et pincées, un nez écrabouillé, à peine existant, des cheveux courts coupés en carré noir corbeau, une horreur sur patte, maigre à en détourner le regard, petite à en rire... et effrayante pour la petite qui ne comprenait pas pourquoi est-ce qu'on lui envoyait un monstre pareil. Elle lui avait sourit, un sourire qui lui glaça le sang. Echange de ‹‹ Bonjour. ›› polis, invitation à s'asseoir et à boire quelque chose courtoise mais la chose refusa en souriant ‹‹ Dis moi Carolina, elle est où ta maman ? ››. Horreur, peur, dégout, incompréhension envahirent le petit corps de l'enfant à cette question destinée à lui faire perdre pied, elle qui avait pourtant fait tant d'effort ! ‹‹ Elle est malade, elle dort. C'est pas sa faute vous savez, elle aurait bien voulu vous parler mais... la grippe. ›› Réfléchis ! c'était ce qu'elle se disait en improvisant, l'autre avait pour réponse un sourire mauvais. ‹‹ La grippe ? ah, j'aurai plutôt pensé à autre chose. ›› Mes rêves abrègent souvent, ils sautent quelques parties. Maintenant je la vois, elle a quinze ans, elle a encore fugué, sa famille d'accueil en est encore soulagé, pas de problèmes à la maison ce soir. Elle traine dans les rues comme toujours, essaye de braver le plus d'interdits possible. C'est une maladie, depuis qu'on lui a tout enlevé elle est là et la ronge. Révoltée, c'est ce qu'elle est là et elle cherche à l'exprimer d'une manière où d'une autre. Les insurgés... elle a fait leur connaissance et la mienne par la même occasion. Prête à faire n'importe quoi pour eux, pour nous. Je la trouvais marrante, cette gamine survoltée qui gagnait rapidement en grade au sein de l'organisation. Folle, elle était folle. Elle acceptait chaque mission, impitoyable et prête à aller au bout de tout ce qu'elle entreprenait. Dangereuse elle était ça oui, sa télékinésie effrayante et destructrice. Elle contrôlait son pouvoir étonnement bien pour son âge et sa personnalité, il y avait... Une sorte de passion entre eux. Je n'étais rien d'autre que fasciné par cette petite étonnante, enfin, nos trois ans de différence me paraissaient énormes à l'époque. Mais j'étais tombé amoureux d'elle, au bout de quelques mois seulement. Un amour inconditionnel et protecteur pour cette petite, nouvelle arrivante qui plus est. Moins d'un an plus tard, elle m'appartient, s'offre à moi corps et âme, je l'aime comme il se doit en retour. Elle me laisse entrevoir son jardin secret, ses rêves, elle me laisse découvrir "sa planque" comme elle le dit sur un ton affectueux. Une vieille usine désaffectée dans un des quartiers les plus pourris de la ville, quelle merveille ! Qu'est-ce qu'on l'a squatté cet endroit ! fumant, buvant, riant de tout et de rien et puis, se racontant des histoires, simples fantasmes ou tristes réalités. Enfin moi, j'écoutais surtout, je l'observais avant tout, exquis était chacun de ses mouvements, chacun de ses gestes, chacune de ses paroles... Et puis il y a eu les "marmots" qui sont arrivés après ça. Carolina les recueillant, ces nouvelles recrues qui n'avaient nulle part où aller, des gosses perdus et dépassés par les évènements. Y avait cette fille, Blair, typiquement japonaise, personne connaissait son vrai nom. Quatorze ans la gamine, manipulait le feu, un danger public. Puis Soichiro, gosse en colère et impulsif à la force surhumaine, quinze ans et totalement givré à mon avis. Et la petite dernière, Lulu, de ses onze ans la cadette. Adorable la Lulu si elle ne se servait pas de vos pires cauchemar contre vous. Ces gosses, ils étaient un peu ceux de Carito. Et puis moi je mentirais si je disais que je ne les aimais pas, gamins attachants, un peu envahissants mais marrants. On gardait le deuxième étage de l'usine pour nous, les marmots se contentaient du rez-de-chaussée déjà gigantesque pour trois. Moi j'étais bien là, avec Carolina et les autres mais il a fallut que tout soi gâché par cette mission. Je raconterai pas ça parce que ça m'enrage rien que d'y penser mais elle tua quelqu'un ce jour là. Aussi rebelle soit-elle, ça l'a... marquée, réellement. Pendant plusieurs mois, il ne restait d'elle que des petits morceaux que je recollais lentement. Elle se murait dans un silence insupportable, elle se figeait dans une posture que je ne pouvais regarder. Où était-elle passée ?... Carolina ? j'ai besoin de toi. C'est ce que je lui ai dis, en l'appelant par son prénom pour la première fois. L'appeler par son prénom l'avait quelque fois réellement enragée, personne ne l'appelait ainsi, elle était juste Carito. Mais c'est à ce moment qu'elle à commencé à me voir à nouveau, la lueur dans ses yeux s'était rallumée pour me bruler de ses pupilles aux paillettes d'or, enchantantes. J'avais souris, elle aussi, étreinte folle d'amour et regard de braises. J'avais rit, rit de joie, moi qui ne prends que trop peu le temps de rire. Plusieurs années se sont écoulées comme ça, belles et lumineuses. Moi je vivais dans le moment présent, toujours merveilleux à ses côtés, elle qui réussissait à me faire voire la vie autrement. C'était beau et puis surtout ça ne pouvait pas durer. Ça ne serait pas drôle si ça n'avait pas de fin, n'est-ce pas ? Aujourd'hui j'y pense encore et encore. Dans ma petite cellule, sur le matelas inconfortable, autant que celui de la planque mais elle n'est pas là pour le rendre agréable. Je regarde le plafond, compte ses fissures et tâches d'humidité, passe ma main sur mon torse nu, compte mes cotes et mes cicatrices. Ils m'ont finalement eu, les connards. Elle, elle a dit qu'elle allait venir me chercher. J'ai peur. Elle est vraiment capable de le faire, je sais qu'il n'en résulterait rien de bon. Tant qu'il ne lui arrive rien, tant qu'elle ne souffre pas... Même si elle a déjà souffert de ma capture, c'est sûr, je veux qu'elle survive à ça. Qu'elle m'oublie même si en fait je ne le souhaite nullement, c'est mieux non ? Moi je pense encore et encore, car ils ne peuvent pas me retirer ça. Je pense à elle, aux marmots, aux autres insurgés... Je ne peux m'empêcher de ressasser ces moments que j'ai passé. Je ferme les yeux, elle est là. Assise sur le rebord de mon lit, elle parle, me raconte une histoire improbable, d'une fille transformée en loup qui cherche à parler à la lune pour pouvoir reprendre forme humaine. J'écoute, souris, ferme les yeux, sa voix me plait, c'est un chant mélodieux qui éveille mes sens. Je m'endors pas, ses paroles sont bien trop captivantes, je sens son sourire dans ses mots, son regard ailleurs à la structure étriquée de ses phrases et puis... son éloquent murmure, il s'arrête. Je me raidis, n'ouvre pas les yeux. Elle va sûrement reprendre, bientôt. ‹‹ Carolina... ›› Je sens sa main dans mes cheveux, son souffle réchauffe mon visage, ses cheveux me chatouillent le nez, ses lèvres humides se déposent sur ma joue, ses doigts caressent ma mâchoire en un effleurement des plus exquis ‹‹ Carolina... ›› je répète. J'ouvre les yeux, où-t-elle ? Pas à mon côté, la pièce est sombre et terne, froide et sent mauvais. Je suis seul et en sueur. Comme toujours. Seul et en pleurs.
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| | | | Sujet: Re: Galerie de Stanzy! o/ Lun 30 Déc - 18:22 | |
| Il me semble que cette présentation là est pleine de fautes d'orthographe x) (je pense que c'est la cinquième que j'ai écrite ^^) - Jun:
• Jun ISONO
• Date de Naissance : 5 mars 1995 • Âge : 18 ans • Groupe : Hide • étudiante en mathématique •serveuse
Jun, malgré son jeune âge, s'est forgé son propre caractère et sa propre personnalité. Tous deux ne sont pas forcément intéressants aux premiers abords, ils sont propres à la jeune fille, certes, mais rien d'exceptionnelle ne saute aux yeux. Discrète, travailleuse, sportive, Jun n'a jamais voulu sortir de l'ombre et attirer l'attention sur sa petite personne.
Elle a commencé le kendo à l'âge de six ans et a dû alors directement adopter une certaine façon de vivre et de penser. La combativité, l'effort, la détermination et une certaine force de caractère : c'est tout ce que Jun a développé en même temps que ces capacités au combat. Si jeune, elle avait déjà opté pour une voie spirituelle que lui apportait les sports de combat traditionnels. Même si les premiers mois étaient terriblement durs pour la toute jeune fille qu'elle était, l'abandon n'a jamais été une option pour elle qui était littéralement passionnée et en constante recherche d'un dépassement de soi. Toute sa personnalité est directement liée aux sports de combat qu'elle pratique. Cela peut paraître impersonnel mais grâce à eux elle s'est créé un caractère qu'elle travaille encore et toujours et qui la satisfait pleinement.
Jun a commencé l'Aïkido a dix ans. C'est cette discipline qu'elle adoptera réellement et pour laquelle la jeune fille offrira tout son temps et sa motivation. L'Aïkido est un sport de combat qui consiste à retourner l'agressivité et l'attaque de l'adversaire contre lui. Une sorte d'auto défense mais dont l'action est toujours immédiate et proportionnée à l'agression qu'on nous porte. Le combat n'a jamais lieu car finit au moment même où il débute. Dès sa découverte de la discipline, Jun s'est faite plus discrète et dur à approcher. Totalement dévouée à son professeur, l'Aïkido est rapidement devenue la priorité de la jeune fille. Même si elle reste très effacée, Jun a toujours été d'un naturel gentil et serviable. Elle n'aime pas vraiment la violence, c'est pour ça qu'elle a choisi l'Aïkido comme sport. Pas particulièrement intelligente, son acharnement l'aura tout de même toujours faite progresser et c'est avec plaisir qu'elle surmonte chaque obstacle qui se dresse devant elle. Jun pour qui le regard des autres est tout de même important n'a jamais voulu passer pour une sotte mignonne et sportive et à donc décidé dès le lycée de défier son plus grand ennemi. Les mathématiques. La seule chose à laquelle elle se consacre réellement avec l'Aïkido et depuis peu : le groupe des Hide.
Jun qui est plutôt timide a tout de même toujours l'air gai et enjoué. Malgré cela, ses passions qui ne plaisent qu'à peu de ses camarades, elle a beaucoup de mal à se faire des amis et bizarrement ça ne la dérange pas le moins du monde. La jeune fille ne se sent pas seule, ses loisirs et l'école lui suffisent amplement à être heureuse. Pas vraiment demandeuse, se contentant toujours de ce qu'elle a, Jun a de quoi s'attirer la sympathie de n'importe qui si on arrive seulement à braver son apparence de combattante ténébreuse un peu intimidante ou plutôt étrange.
Son meilleur ami, si on peu l'appeler ainsi, n'est personne d'autre que son frère. Elle l'admire depuis son plus jeune âge et il est son adversaire préféré lors des entraînements de kendo. Jun est d'un naturel suiveur et obéissant, elle est la meilleure subordonnée que son frère, Yugo, pourrait avoir. Et la jeune fille serait bien prête à beaucoup de sacrifices pour lui. Souvent inquiète et protectrice envers les membres de sa famille (à défaut d'avoir des amis) elle leur prête énormément d'attention lorsqu'ils en ont besoin et reste quelqu'un de loyal et à l'écoute peu importe la situation.
Enfouit au plus profond de Jun, dort un grand sens de la justice qui ressortira lors des guerres des différents gangs de la ville. Selon elle, il était de son devoir de rejoindre les Hide afin de défendre la population de la ville. Pleine de bonnes intentions, la jeune fille a la naïve impression de se battre du côté du bien. Cela lui donne la sentiment de prendre de l'importance ce qui n'est finalement pas pour lui déplaire. Même si elle restera toujours dans l'ombre, le simple fait d'agir lui fait énormément de bien.
Côté coeur il n'y a pas énormément à dire. Jun est déjà sortie quelques fois avec des garçons de son âge qui la trouvait simplement jolie. Elle ne pense pas être déjà tombée amoureuse de qui que ce soit et n'en ressens pas vraiment le besoin, se satisfaisant totalement de sa situation. Elle reste tout de même quelqu'un de romantique et sentimentale et attend simplement que les choses arrivent d'elle même. Vu que ce n'est pas indispensable et que le temps ne presse pas, elle n'a pas l'intention de réellement chercher l'amour pour le moment. Seule sa beauté a réussi à attirer quelques garçons qui n'avaient absolument rien en commun avec elle.
En effet, la nature a fait le don d'un très joli visage à la petite Jun. Les yeux d'un noir profond rehaussé par des paillettes d'un brun brillant et toujours rieurs, son regard ne cesse d'attirer celui des autres même si , eux, ne s'attardent certainement jamais assez sur celui de la jeune fille. Les yeux toujours légèrement maquillés, ce qui a pour effet de les agrandir considérablement, on pourrait presque penser que Jun est métisse.
Ses cheveux noirs ébènes et raides sont pourtant bien ceux d'une japonaise. Une frange retombent sur ses jolis yeux et elle laisse la plupart du temps ses cheveux détachés sauf lors de ses entraînement au combat.
Très petite de taille, Jun n'en est pas moins particulièrement fine. Assez menue, elle a les membres finement musclés mais possède tout de même un semblant de formes très féminines.
Elle s'habille comme tous les jeunes de son âge, d'un style commun et passe partout. Seul le petit foulard sur lequel l'insigne des Hide est brodé ressort de sa tenue. Elle l'accroche la plupart du temps à son sac à main. Sinon, c'est seulement lors de ses entrainement à l'Aïkido qu'elle porte le keikogi qui est souvent appelé kimono par ceux qui ne s'y connaissent pas.
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Jun est native de Kensei et est née au sein d'une famille parfaitement normale. Elle a eut une belle enfance partagée avec son frère ainé et leurs parents attentionnés. Elle se battait souvent avec son frère, Yugo, à croire que c'était absolument quelque chose qui leur était indispensable à tous les deux.
Sa mère qui souhaitait que sa petite fille adorée ait déjà une activité extra-scolaire, de quoi la rendre encore plus fière de ses enfants, ne fût même pas étonnée d'apprendre que Jun souhaitait suivre des cours de Kendo. La petite n'avait que six ans, le kendo étant accessible aux enfants de cinq ans ; sa mère accepta. Peut-être avec un peu de regrets, ceux de ne pas voir sa fille faire du ballet mais enfiler une armure et prendre un sabre en bambou. Jun, un peu garçon manqué à l'époque, ne pouvait s'empêcher de trouver cela vraiment trop classe.
Elle adorait impressionner son père et son frère lors des cérémonies et des entraînements auxquels ils assistaient. Le kendo est rapidement devenu sa plus grande occupation et son principal sujet de conversation. Le sport qui lui apprit à faire preuve de détermination et de ne jamais baisser les bras ne l'a pourtant pas aider à se faire des amis. La petite fille assez discrète et timide qu'elle était ne connaissait rien d'autre que le combat et était ainsi difficilement approchable et appréciable aux yeux des autres enfants de primaire.
Elle grandit la tête pleine de rêve, se gavant de manga pour garçon dont les personnages indestructibles pouvaient se battre sans jamais s'arrêter avec une force et un courage incroyable. La jeune fille travaillait très bien à l'école, recherchant un dépassement de soi dans n'importe quelle matière. Même si, sa joie véritable s'affichait sur son visage enfantin seulement à la fin des cours, lorsqu'elle pouvait enfin se rendre au club de kendo.
Jun n'était pas la meilleure pour son âge mais certainement la plus déterminée. Elle progressait vite même si la force physique lui faisait quelque peu défaut, même contre les autres enfants, elle avait toujours cette envie de faire de son mieux.
Les années passèrent rapidement pour Jun qui devint une toute jeune fille assez mignonne mais dont les connaissances en combat étonnaient toujours les autres. Elle s'entendait relativement bien avec ses camarades de classe sans pour autant être proche d'un d'entre eux. Ce n'était pas quelque chose d'important pour elle qui aimait la solitude et se noyer dans le travail et l'entraînement au kendo.
Ce fût une catastrophe pour elle d'apprendre, après un transfert dans une autre école, que l'établissement scolaire ne possédait pas de club de kendo. Elle avait à peine dix ans et voyait son monde s'écrouler autour d'elle. Ses parents inquiets pour elle finirent par la convaincre de rejoindre le club Aïkido qui, à leurs yeux, était assez semblable à celui de kendo.
Au début peu enthousiaste à l'idée de devoir commencer à apprendre une discipline depuis le début, la jeune fille ne cessait de faire la tête aux membres de son nouveau club auquel, avec beaucoup de mauvaise volonté, n'arrivait pas à trouver le moindre intérêt.
Mais après quelque cours, Jun se rendit bien vite compte que l'Aïkido ressemblait très fort au kendo sous bien des angles. La plus grosse différence était que le combat à mains nues était privilégié alors qu'il était inexistant dans le kendo. Une chose la fascina rapidement dans ce sport ; il n'y avait pas vraiment de violence, pas d'agressions envers les autres. Le but était de retourner l'attaque de son adversaire à son avantage et de provoquer un déséquilibre grâce à un enchainement qui mettrait à néant les tentatives de l'ennemi. Un sport de combat sans réels combats. Car ceux-ci s'achevaient au moment même où ils commençaient.
Pour Jun c'était absolument fantastique. D'un naturel calme et pacifique, elle fût finalement ravie d'apprendre qu'un tel type de combat existait. Les but de l'Aïkido étants d'anéantir l'agressivité de l'ennemi sans pour autant devoir le vaincre. La jeune fille se consacra alors de nouveau de manière presque excessive à un sport qui la passionnait.
Un an plus tard, des gangs se formèrent dans un lycée de la ville. Tout le monde en entendait parler, ils étaient apparemment violents et incontrôlables. La petite Jun se demandait qui pouvaient bien être ces combattants qui semblaient poursuivre des idéaux qu'elle interprétait sûrement de la mauvaise manière. Dans sa jolie petite chambre bien propre, elle se demandait si il y en avaient des bons ou des mauvais. Naïve, la jeune fille s'imaginait des héros protégeants ce qu'ils chérissaient. Mais qui étaient les méchants et qui étaient les gentils ? Elle avait décidé de le découvrir plus tard et de s'entraîner au combat comme jamais en attendant pour pouvoir protéger sa famille si elle le devait.
À ses douze ans, son frère perdu l'usage d'un de ses yeux. Ce fût terrible pour toute la petite famille. Yugo était amer, il ne pouvait plus jouer au base-ball et ne savait pas exactement ce qu'il voulait faire de sa vie. Toute jeune mais de tout coeur avec son grand frère, Jun se sentie très mal pour lui et essaya de se rapprocher encore plus de lui pour qu'il se remette rapidement de sa perte. Sa volonté d'apprendre le combat grandit encore une fois après cela. Elle culpabilisait presque de ce qui était arrivé à Yugo et avait décidé de le protéger et de tout faire pour qu'il ne lui arrive plus rien. Même si ça peut sembler ridicule venu d'une gamine de douze ans, elle était sincère et commença même à s'entrainer avec son frère qui aimait beaucoup les techniques kendo.
Les années passèrent, les problèmes entre les gangs devinrent rapidement graves. Une jeune fille perdit la vie ce qui fût un élément déclencheur à toute la violence qui suivit. Finalement, le calme revint après l'arrestation des différents membres des gangs. Les temps passa et Jun aussi avait grandit, désormais au lycée et présidante du club d'Aïkido. Elle s'interrogeait toujours sur les gangs. Leurs intentions, quelles étaient-t-elles ? Cela n'avait certainement plus beaucoup d'importance aujourd'hui. C'était ce qu'elle s'était dit jusqu'à ce qu'ils fassent leur grand retour.
Elle avait commencé à remarquer que quelque chose n'allait pas lorsque son frère changea. En fait, son changement était fabuleux, il avait l'air de se ré-intéresser à certaines choses et recommençait à afficher un air heureux. La jeune fille constata avec étonnement sa grande amélioration en kendo qui était assez soudaine. Il avait d'un coup dépassé son niveau à elle. Jun n'avait pratiqué le sport que pendant quatre ans mais continuait à manier le sabre en Aïkido. Ce n'était certainement pas ce en quoi elle excellait mais elle était tout de même étonnée de ce changement de niveau rapide.
Jun commença à un peu plus surveiller son frère, souhaitant sa sécurité avant tout ; elle avait peur qu'il traine dans des affaires louches. Il se trahit rapidement, et finit par tout avouer à sa petite soeur qui était insistante.
La jeune fille était surprise, finalement on entendait de nouveau des gangs. Et son frère était désormais concerné. Jun ne se posa pas un milliard de questions, elle voulait juste le soutenir ou plutôt le protéger. La promesse qu'elle s'était faite étant enfant était toujours d'actualité et Jun décida qu'elle ferait tout pour rejoindre le groupe dont Yugo faisait partie. Elle qui n'avait plus aucun but à atteindre depuis certain temps et continuait simplement de progresser en mathématique et d'améliorer ses techniques d'Aïkido retrouvait avec plaisir le devoir d'atteindre un objectif.
Elle laissa le temps s'écouler, le temps de finir le lycée et de réussir son examen d'entrée à l'université. Jun quitta donc le club d'Aïkido du lycée avec un rang de 1er Dan et rêva un instant de fonder son propre club. Mais la jeune fille avait d'autres choses en tête, elle choisit les mathématiques comme étude et s'installa au campus universitaire pour avoir une sorte d'indépendance. Jun obtint un petit boulot de serveuse au restaurant de l'université. Elle venait d'avoir dix-huit ans et venait de demander à son frère d'intégrer les Hide.
La jeune fille qui rêvait de ces groupes depuis toute petite souhaitait réellement vivre ça aux cotés de Yugo qu'elle voulait protéger avant tout. Croyant aux idéaux des Hide et souhaitant protéger la population de sa ville natale, Jun insista longtemps auprès de son frère pour qu'il se décide enfin à l'intégrer dans le groupe.
Ce qu'il fît finalement, la présentant aux autres membres qui prirent plusieurs semaines à l'accepter et à lui faire confiance. Bien sûr, le fait qu'elle soit la soeur de Yugo aida énormément à l'intégrer. Jun étant un tout nouveau membre des Hide n'a pas encore subi de véritables tests et redoute un peu le moment où elle devra faire ses preuves. J'avais aussi écrit la présentation de Shireen sur un forum de Game of Thrones mais comme je n'ai pas été active, ils l'ont supprimée D8 J'avoue avoir un peu été dégoutée, j'aimais bien ce que j'avais écrit... et puis, ça m'avait pris du temps quoi hahaha... xD Enfin bref, j'ai d'autres trucs à montrer mais faut que je retrouve les forums x) (et puis pour voir les présentations, il faut parfois être connecté... et j'ai pas envie de faire une réapparition sur certains d'entre eux... XD) |
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